Edward

Complétez les phrases par un(e) autre, d'autres, certain(e)s, l'une, l'autre, les un(e)s, les autres.

I. On trouve des clémentines au marché à partir de novembre; les unes viennent de
Corse, les autre d'Espagne ou du Maroc.

2. L'ampoule de cette lampe est grillée; il faut en mettre une autre.

3. Il n'y a qu'un étudiant dans la classe. Où sont donc les autres?

4. Parmi les touristes, certains voulaient acheter des souvenirs mais la plupart voulaient se reposer.

5. Joseph suggère que nous allions danser. Demandons quand même l'avis d'autre!

6. Ces chaussures me vont bien mais j'aimerais en voir d'autres.

7. Quelques étudiants de la classe veulent organiser une fête; il faut en parler aux autres.

8. Pour aller de Nice à Menton, il y a deux routes: l'une suit la côte,
l'autre passe par l'intérieur des terres.

Salut

Bien !

Edward_Hua a écrit:
Complétez les phrases par un(e) autre, d'autres, certain(e)s, l'une, l'autre, les un(e)s, les autres.

I. On trouve des clémentines au marché à partir de novembre ; les unes viennent de Corse, les autres d'Espagne ou du Maroc.

2. L'ampoule de cette lampe est grillée ; il faut en mettre une autre.

3. Il n'y a qu'un étudiant dans la classe. Où sont donc les autres ?

4. Parmi les touristes, certains voulaient acheter des souvenirs mais la plupart voulaient se reposer.

5. Joseph suggère que nous allions danser. Demandons quand même l'avis des autres. (d'autre)

6. Ces chaussures me vont bien mais j'aimerais en voir d'autres.

7. Quelques étudiants de la classe veulent organiser une fête ; il faut en parler aux autres.

8. Pour aller de Nice à Menton, il y a deux routes: l'une suit la côte, l'autre passe par l'intérieur des terres.

---

Les temps du passé

Voir ici.

Ecrivez les verbes entre parenthèses à l'imparfait ou au passé composé.

Tout à coup, il (se produire) s'est produit un grand mouvement dans la foule.

Chaque soir (éclater) s'est éclaté un orage qui (durer) durait
une heure.

Vers minuit, comme il (sortir) sortait de la maison, un coup de vent (souffler)
a soufflé sa lanterne qui (s'éteindre) s'est éteinte.

A chaque gare, l'omnibus (s'arrêter) s'est arrêté, (manoeuvrer)
manoeuvrait, (attendre) attendait on ne sait quoi, puis (repartir)
est reparti.

Ce jour-là, ils (partir) sont partis à l'aube et (marcher) ont marché
longtemps avant d'atteindre la ville qui (se trouver) se trouvait au-delà de la rivière.

UN ORAGE.

(Au cours d'un voyage sur les bords du Rhin, Victor Hugo a eu l'occasion d'assister, depuis la voiture où il avait pris place, à "un des plus beaux orages" qu'il ait jamais vus.)

Le soir (approcher) approchait, le soleil (décliner) déclinait, le
ciel (être) était magnifique. Je (regarder) regardais les
collines du bout de la plaine, qu'une immense bruyère violette (recouvrir) a recouvert à moitié...
Tout à coup j' (voir) ai vu un cantonnier redresser sa claie (1)
couchée à terre et la disposer comme pour s'abriter dessous.
Puis la voiture (passer) est passé près d'un troupeau d'oies qui (bavarder) bavardaient joyeusement. "Nous allons avoir de l'eau, (dire) disait le cocher."
En effet, j' (tourner)ai tourné la tête : la moitié du ciel derrière nous (être) était envahie par un gros nuage noir, le vent (être) etait violent, les ciguës en fleur (se courber) se courbaient jusqu'à terre, les arbres (sembler) semblaient se parler avec terreur, de petits chardons desséchés (courir) couraient sur la route plus vite que la voiture, au-dessus de nous (voler)
volaient de grandes nuées. Un moment après (éclater) éclatait un des plus beaux orages que j'aie vus.

(Victor Hugo, Le Rhin.)
(1) claie : treillage en bois.

1. Je ne prends jamais () fruits avant de dormir.
On doit utiliser "des" ou "de" dans les parenthèses?

2. Les verbes pronominaux
Y a-t-il quelques régularités sur la préposition suivie des verbes pronominaux?

se décider à, se résigner à

se contenter de, s'agir de

Est-ce que le choix entre 'de' et 'à' est juste une habitude linguistique?

Merci.

Salut

Bien !

Ecrivez les verbes entre parenthèses à l'imparfait ou au passé composé.

Tout à coup, il (se produire) s'est produit un grand mouvement dans la foule.

Chaque soir (éclater) (s') (est éclaté) éclatait un orage qui (durer) durait
une heure.

Vers minuit, comme il (sortir) sortait de la maison, un coup de vent (souffler)
a soufflé sa lanterne qui (s'éteindre) s'est éteinte.

A chaque gare, l'omnibus (s'arrêter) (s'est arrêté) s'arrêtait, (manoeuvrer)
manœuvrait, (attendre) attendait on ne sait quoi, puis (repartir)
(est reparti) repartait.

Ce jour-là, ils (partir) sont partis à l'aube et (marcher) ont marché
longtemps avant d'atteindre la ville qui (se trouver) se trouvait au-delà de la rivière.

UN ORAGE.

(Au cours d'un voyage sur les bords du Rhin, Victor Hugo a eu l'occasion d'assister, depuis la voiture où il avait pris place, à "un des plus beaux orages" qu'il ait jamais vus.)

Le soir (approcher) approchait, le soleil (décliner) déclinait, le ciel (être) était magnifique. Je (regarder) regardais les collines du bout de la plaine, qu'une immense bruyère violette (recouvrir) recouvrait (a recouvert) à moitié...
Tout à coup j' (voir) ai vu un cantonnier redresser sa claie (1) couchée à terre et la disposer comme pour s'abriter dessous.
Puis la voiture (passer) est passé près d'un troupeau d'oies qui (bavarder) bavardaient joyeusement. "Nous allons avoir de l'eau, (dire) a dit (disait) le cocher."
En effet, j' (tourner) ai tourné la tête : la moitié du ciel derrière nous (être) était envahie par un gros nuage noir, le vent (être) était violent, les ciguës en fleur (se courber) se courbaient jusqu'à terre, les arbres (sembler) semblaient se parler avec terreur, de petits chardons desséchés (courir) couraient sur la route plus vite que la voiture, au-dessus de nous (voler) volaient de grandes nuées. Un moment après (éclater) éclatait un des plus beaux orages que j'ai (aie) vus.

(Victor Hugo, Le Rhin.)
(1) claie : treillage en bois.