Ina

Classement suivant le sens

Quantité nulle : aucun, nul, pas un.
Pluriel : certains, différents, divers, maints, plusieurs, quelques.
Singulier : chaque, quelque, un certain, tel.
Indéterminé : quelque.
Totalité : tous.
Quantité : tout.
Différence : autre.
Ressemblance : même.

Mansour a écrit:

J'aime la grammaire car elle reflète la vision (compréhension) que nous avons du monde. Étrange de considérer la ressemblance comme une inconnue (indéfini).

La morale de cette fable se trouve (,) (se) (découvert) parfaitement dans ce vers (il verse) “Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de (que) celui qui l’écoute”. Donc, il faut savoir garder la raison même quand quelqu'un nous flatte et nous dit ce que l'on veut entendre. Il faut savoir garder les pieds sur terre.
Il faut de se méfier des beaux parleurs, et des flatteurs en particulier, pour ne pas être abusé. (par les autres)

Le thème de cette (cet) histoire est (sur) la vanité et l'hypocrisie.


Le Corbeau et le Renard
-----------------------------------------------------

Maître Corbeau, sur un arbre perché,

Tenait en son bec un fromage.

La fabule débute par le mot "maître". L'auteur ne l'a pas utilisé sans but. Tout d'abord cela rend le corbeau humain (La fontaine ne nous parle pas vraiment du comportement des animaux, mais de celui des hommes). On peut dire que le corbeau représente un personnage haut placé. Mais l'utilisation du mot "maître" nous montre aussi la position du corbeau au début de la fable (,) ; il est en position de prestige (avantage) car il est perché sur une branche en haut de l’arbre, inaccessible au renard. (et) De plus, il possède quelque chose que le renard n'a pas et qu'il désire ( le fromage).

Le formage peut représenter la richesse. Il est ici objet de convoitise.

Un avantage (nom) ; avantager (verbe) ; avantageux -euse (adjectif) ; avantageusement (adverbe).

Maître Renard, par l'odeur alléché,
Lui tint à peu près ce langage :

Ici, on comprend donc que ce renard, il est alléché par l’odeur, c’est à dire, que l’odeur est appétissante et il est attiré par l’odeur du fromage.

Ce n'est pas exacte. Alléché est le participe passé de odeur, et non de renard.

(Mais étant que le renard est en position d'infériorité par rapport au corbeau et comme il ne peut pas utiliser la force, il va employer la ruse et son intelligence en utilisant le pouvoir du langage pour manipuler le corbeau et prendre ce que il veut.) Ce n'est pas ce que dit ces deux vers.

"Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !

La Fontaine introduit un “du corbeau” qui donne un côté très noble au corbeau. Donc, le Renard utilise une façon très polie, très formelle de parler au corbeau. Le renard cherche à agir sur le corbeau en le flattant, il commence à lui faire des compliments. Tout ce que le Renard dit sont des mensonges. Le corbeau est un oiseau noir, c’est un symbole de mort, (il) ce n’est pas du tout un oiseau raffiné. Quand même, le Renard lui parle comme s’il était un seigneur. On comprend ici que la principale caractéristique de Renard, c'est la ruse, mais aussi l'intelligence qui lui permet de découvrir les points faibles de son ennemi, comme la vanité, (et) (puis) (il va) (l'utiliser) utilisée pour piéger sa victime. (organiser) (son piège)

Utilisée qualifie quel mot ?

Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. "

Le Renard (non) a non seulement anobli (rendu) le corbeau (noble) en lui disant “Monsieur du Corbeau”, mais il (aussi) le compare aussi au phénix, (qui est un) oiseau (ouseau) fabuleux de la mythologie égyptienne, très coloré, un symbole de vie ; c’est exactement le contraire du corbeau. L'idée que le renard est un menteur, un flatteur se renforce encore plus dans ces vers. (tu verses)


À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.

Le corbeau (,) a (tout) cru (et) (les mots du) le Renard. (ont ?) (satisfait son désir ?)

C'est une grave erreur de mettre une virgule entre le sujet et son verbe.

Que peux-tu dire sur l'emploi du mot proie ?

Tellement heureux par ces compliments, (comp_iments) il a voulu (___ veut) montrer au (à) renard (,) (qui a déjà reconnu la beauté de son plumage) (,) la beauté de sa voix. Donc, il ouvre son bec et laisse le fromage tomber. (tromper)

Le Renard s'en saisit, et dit : "Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. "

Ici, on comprend la morale de cette fable. (Donc) Le renard fait la leçon -de morale- (explique) au corbeau. (,) Il lui dit que les flatteurs vivent grâce aux personnes qui les écoutent. Il faut comprendre la signification de ce message dans le contexte historique. Il s'agit d'un - peut-être le roi ? - en position supérieure, comme le corbeau bien haut perché sur sa branche – et l’hypocrisie de courtisans rusés qui flattent et disent tout ce que les personnes de pouvoir veulent entendre. (En fin) Les personnages haut placés les écoutent, et finalement, les font vivre.

Les mots que le (quile) renard a utilisé "vaut bien" et "sans doute" montrent qu'il se moque du corbeau. Le renard, qui ne possédait (possèdait) rien au début, (debut), repart la bouche pleine.


Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.

(Quand ?) Le corbeau comprend alors ce (se) qui s'est passé. (Donc) Il se sent stupide d’avoir écouté et d’avoir cru le renard. C'est pourquoi il promet, un peu trop tard, que les flatteurs ne le piègeraient plus.
Il y a de nombreux flatteurs comme le Renard, qui profite de l'ignorance des gens pour obtenir d'eux ce qu'ils veulent. Nous sommes tous un peu narcissique, (vaniteux) nous vivons dans un monde où les relations humaines sont dominées par les conflits d'intérêt, où règne parfois (par) l'hypocrisie et le mensonge, mais l'important est d'être réaliste et de ne pas permettre (pas) que l'on se moque (les autres) (de se moquer) et (de profiter) profite de nous.

Mansour a écrit:

"Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !

La Fontaine introduit un “du corbeau” qui donne un côté très noble au corbeau. Donc, le Renard utilise une façon très polie, très formelle de parler au corbeau. Le renard cherche à agir sur le corbeau en le flattant, il commence à lui faire des compliments. Tout ce que le Renard dit sont des mensonges. Le corbeau est un oiseau noir, c’est un symbole de mort, (il) ce n’est pas du tout un oiseau raffiné. Quand même, le Renard lui parle comme s’il était un seigneur. On comprend ici que la principale caractéristique de Renard, c'est la ruse, mais aussi l'intelligence qui lui permet de découvrir les points faibles de son ennemi, comme la vanité, (et) (puis) (il va) (l'utiliser) utilisée pour piéger sa victime. (organiser) (son piège)

Utilisée qualifie quel mot ?

À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.

Le corbeau (,) a (tout) cru (et) (les mots du) le Renard. (ont ?) (satisfait son désir ?)

C'est une grave erreur de mettre une virgule entre le sujet et son verbe.

Que peux-tu dire sur l'emploi du mot proie ?