Siham Moon
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Re: Siham Moon
Salam
Les erreurs de ponctuation sont :
Catherine et son amie bavardent.
Catherine : "Un jour, Cyril m'a vu dans la rue. Il m'a appelé, il m'aparlé, il m'a raconté sa vie, ses problèmes. Puis il m'a quitté car il était pressé. Il m'a téléphoné peu après, il m'a donné rendez-vous. Il m'a proposé une soirée dans une discothèque. Nous y sommes allés. Là, il m'a regardé longuement, il m'a interrogé, il m'a écouté, il m'a demandé comment je vivais. Il m'a dit qu'il voulait me revoir. Il m'a promis de me téléphoner tous les jours. Il m'a donné son numéro de téléphone, je lui ai donnée le mien. "
Les erreurs de ponctuation sont :
Catherine et son amie bavardent.
Catherine : "Un jour, Cyril m'a vu dans la rue. Il m'a appelé, il m'aparlé, il m'a raconté sa vie, ses problèmes. Puis il m'a quitté car il était pressé. Il m'a téléphoné peu après, il m'a donné rendez-vous. Il m'a proposé une soirée dans une discothèque. Nous y sommes allés. Là, il m'a regardé longuement, il m'a interrogé, il m'a écouté, il m'a demandé comment je vivais. Il m'a dit qu'il voulait me revoir. Il m'a promis de me téléphoner tous les jours. Il m'a donné son numéro de téléphone, je lui ai donnée le mien. "
Dernière édition par siham moon le Mar 1 Jan - 10:23, édité 2 fois
Siham Moon- Messages : 30
Points : 32
Date d'inscription : 26/12/2012
Localisation : Algérie
Re: Siham Moon
Salam
Maintenant, j'ai compris mon erreur, car il faut laisser un espace après les signes simples, et dans les signes doubles doivent laisser un espace avant et après l'écriture de la signe.
.
Maintenant, j'ai compris mon erreur, car il faut laisser un espace après les signes simples, et dans les signes doubles doivent laisser un espace avant et après l'écriture de la signe.
.
Siham Moon- Messages : 30
Points : 32
Date d'inscription : 26/12/2012
Localisation : Algérie
Re: Siham Moon
Salamsiham moon a écrit:
Salam
Maintenant, j'ai compris mon erreur : (,) (car) il faut laisser un espace après les signes simples, et pour (dans) les signes doubles, (doivent) laisser un espace avant et après l'écriture du (de la) signe.
Oui ! Plusieurs élèves ici n'ont pas réussi à passer ce stade.
Bien, maintenant que tu sais les écrire, on va voir comment les utiliser إن شاء الله.
Écris-le sur un post-it :
la ponctuation = البيان
Oui mademoiselle l'architecte ! De plus, elle se lit, elle se dit.
Révision
Accord et emploi du participe passé : ici.
Dernière édition par Mansour le Mar 1 Jan - 18:35, édité 1 fois
Mansour- Admin
- Messages : 7677
Points : 14608
Date d'inscription : 17/07/2011
Localisation : Ile-de-France
Re: Siham Moon
Salam.
Il faisait nuit aux Glaïeuls quand je suis rentrée Le bar était fermé, la rue déserte. Maman dormait au salon devant la télé allumée Je ne l'ai pasréveillée Je ne pouvais pas dormir, moi. Pas tout de suite. J'avais la tête trop pleine. (...) Alors j'ai pris un cahier neuf et, couché sur mon lit, j'ai commencé à écrire dessus.
N'importe quoi. Ma vie, mes pensées, mes rêves. J'en ai couvert des pages et des pages.
C'est la porte d'entrée, en claquant, qui m'a réveillé. Et puis des bruits de pas. Le pas traînant de Crip, le sifflement de ses baskets contre le sol en lino. Il était trois heures du matin. Il a ouvert la porte de ma chambre, allumé la lumière. Sans franchir le seuil, il m'a regardé un moment. Il y avait du sang sur sa joue et sur ses mains. Il était sale et épuisé. Mais surtout, il avait l'air d'un fou. Il m'a juste dit : «J'ai réglé le
problème.»
Je ne sais pas ce que j'ai fait ensuite, s'il m'a dit autre chose, si j'ai dû le bousculer ou bien s'il m'a laissé sortir; je ne sais pas si ma mère était réveillée ou non, s'il faisait froid dehors. Oui, puisqu'il neigeait. Je ne sentais rien. J'ai couri dans la nuit jusqu'au sommet de la colline, jusqu'aux quartiers du haut. Quand je suis arrivée, il y avait une ambulance devant la petite maison, et une voiture de police. (...) Couché sur le
trottoir, une mobylette finissait de flamber en répandant de longues traînées d'huile sale. Le portail avait été
arraché, la porte fracassé. On a essayé de m'empêcher d'entrer mais j'ai crit, je me suis débattée La maison était déserte. A l'étage, la chambre d'Antoine était déserte aussi. Mais ce n'était plus sa chambre, c'était un terrain vague.
Les affiches avaient été déchirée, les meubles renversés, le contenu de tous les tiroirs était répandus par terre. Le vent qui entrait par les carreaux cassés faisait voler les pages arrachés à ses cahiers, à ses livres. Et par terre, sous mes pieds, partout traînaient des lambeaux de sa bande dessiné et des portraits de moi, piétinébarbouillé d'encre, mis en pièces par une bande de fous furieux.
Les policiers m'ont conduit à l'hôpital, avec les grands-parents d'Antoine qui étaient rentrés entre-temps et qui ne comprenaient pas. L'inspecteur m'a interrogé Il était sûr que je connaissais ceux qui avaient fait le coup. «Ils devaient être trois ou quatre», disait-il. «Sûrement des types des Glaïeuls. On les trouvera de toute façon, tu sais. Et si tu les protèges, ça te rend complice.» Je me suis tue (se taire). Je ne pouvais pas rester dans la salle d'attente, affronter le regard des grands-parents et ne pas répondre à toutes les questions muettes qu'ils me posaient avec leurs yeux tristes, alors, j'ai marché tout le reste de la nuit dans le jardin devant le hall
d'entrée. Je n'étais ni désespérée ni en colère. C'était au-delà.
Il faisait nuit aux Glaïeuls quand je suis rentrée Le bar était fermé, la rue déserte. Maman dormait au salon devant la télé allumée Je ne l'ai pasréveillée Je ne pouvais pas dormir, moi. Pas tout de suite. J'avais la tête trop pleine. (...) Alors j'ai pris un cahier neuf et, couché sur mon lit, j'ai commencé à écrire dessus.
N'importe quoi. Ma vie, mes pensées, mes rêves. J'en ai couvert des pages et des pages.
C'est la porte d'entrée, en claquant, qui m'a réveillé. Et puis des bruits de pas. Le pas traînant de Crip, le sifflement de ses baskets contre le sol en lino. Il était trois heures du matin. Il a ouvert la porte de ma chambre, allumé la lumière. Sans franchir le seuil, il m'a regardé un moment. Il y avait du sang sur sa joue et sur ses mains. Il était sale et épuisé. Mais surtout, il avait l'air d'un fou. Il m'a juste dit : «J'ai réglé le
problème.»
Je ne sais pas ce que j'ai fait ensuite, s'il m'a dit autre chose, si j'ai dû le bousculer ou bien s'il m'a laissé sortir; je ne sais pas si ma mère était réveillée ou non, s'il faisait froid dehors. Oui, puisqu'il neigeait. Je ne sentais rien. J'ai couri dans la nuit jusqu'au sommet de la colline, jusqu'aux quartiers du haut. Quand je suis arrivée, il y avait une ambulance devant la petite maison, et une voiture de police. (...) Couché sur le
trottoir, une mobylette finissait de flamber en répandant de longues traînées d'huile sale. Le portail avait été
arraché, la porte fracassé. On a essayé de m'empêcher d'entrer mais j'ai crit, je me suis débattée La maison était déserte. A l'étage, la chambre d'Antoine était déserte aussi. Mais ce n'était plus sa chambre, c'était un terrain vague.
Les affiches avaient été déchirée, les meubles renversés, le contenu de tous les tiroirs était répandus par terre. Le vent qui entrait par les carreaux cassés faisait voler les pages arrachés à ses cahiers, à ses livres. Et par terre, sous mes pieds, partout traînaient des lambeaux de sa bande dessiné et des portraits de moi, piétinébarbouillé d'encre, mis en pièces par une bande de fous furieux.
Les policiers m'ont conduit à l'hôpital, avec les grands-parents d'Antoine qui étaient rentrés entre-temps et qui ne comprenaient pas. L'inspecteur m'a interrogé Il était sûr que je connaissais ceux qui avaient fait le coup. «Ils devaient être trois ou quatre», disait-il. «Sûrement des types des Glaïeuls. On les trouvera de toute façon, tu sais. Et si tu les protèges, ça te rend complice.» Je me suis tue (se taire). Je ne pouvais pas rester dans la salle d'attente, affronter le regard des grands-parents et ne pas répondre à toutes les questions muettes qu'ils me posaient avec leurs yeux tristes, alors, j'ai marché tout le reste de la nuit dans le jardin devant le hall
d'entrée. Je n'étais ni désespérée ni en colère. C'était au-delà.
Siham Moon- Messages : 30
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Localisation : Algérie
Re: Siham Moon
Salam
Bien, et tu as utilisé le pronom je au féminin.
Accord du participe passé quand il s'agit d'un verbe pronominal : ici.
Bien, et tu as utilisé le pronom je au féminin.
siham moon a écrit:
Il faisait nuit aux Glaïeuls quand je suis rentrée Le bar était fermé, la rue déserte. Maman dormait au salon devant la télé allumée Je ne l'ai pas réveillée Je ne pouvais pas dormir, moi. Pas tout de suite. J'avais la tête trop pleine. (...) Alors j'ai pris un cahier neuf et, couchée sur mon lit, j'ai commencé à écrire dessus.
N'importe quoi. Ma vie, mes pensées, mes rêves. J'en ai couvert des pages et des pages.
C'est la porte d'entrée, en claquant, qui m'a réveillé. Et puis des bruits de pas. Le pas traînant de Crip, le sifflement de ses baskets contre le sol en lino. Il était trois heures du matin. Il a ouvert la porte de ma chambre, allumé la lumière. Sans franchir le seuil, il m'a regardé un moment. Il y avait du sang sur sa joue et sur ses mains. Il était sale et épuisé. Mais surtout, il avait l'air d'un fou. Il m'a juste dit : « J'ai réglé le
problème. »
Je ne sais pas ce que j'ai fait ensuite, s'il m'a dit autre chose, si j'ai dû le bousculer ou bien s'il m'a laissé sortir ; je ne sais pas si ma mère était réveillée ou non, s'il faisait froid dehors. Oui, puisqu'il neigeait. Je ne sentais rien. J'ai couru (couri) dans la nuit jusqu'au sommet de la colline, jusqu'aux quartiers du haut. Quand je suis arrivée, il y avait une ambulance devant la petite maison, et une voiture de police. (...) Couchée sur le trottoir, une mobylette finissait de flamber en répandant de longues traînées d'huile sale. Le portail avait été arraché, la porte fracassée. On a essayé de m'empêcher d'entrer mais j'ai crié (crit), je me suis débattue (débattée) La maison était déserte. À l'étage, la chambre d'Antoine était déserte aussi. Mais ce n'était plus sa chambre, c'était un terrain vague.
Les affiches avaient été déchirées, les meubles renversés, le contenu de tous les tiroirs était répandu par terre. Le vent qui entrait par les carreaux cassés faisait voler les pages arrachées à ses cahiers, à ses livres. Et par terre, sous mes pieds, partout traînaient des lambeaux de sa bande dessinée et des portraits de moi,piétinébarbouilléd'encre, mis en pièces par une bande de fous furieux.
Les policiers m'ont conduit à l'hôpital, avec les grands-parents d'Antoine qui étaient rentrés entre-temps et qui ne comprenaient pas. L'inspecteur m'a interrogé Il était sûr que je connaissais ceux qui avaient fait le coup. « Ils devaient être trois ou quatre », disait-il. « Sûrement des types des Glaïeuls. On les trouvera de toute façon, tu sais. Et si tu les protèges, ça te rend complice. » Je me suis tue. Je ne pouvais pas rester dans la salle d'attente, affronter le regard des grands-parents et ne pas répondre à toutes les questions muettes qu'ils me posaient avec leurs yeux tristes, alors, j'ai marché tout le reste de la nuit dans le jardin devant le hall d'entrée. Je n'étais ni désespérée ni en colère. C'était au-delà.
Accord du participe passé quand il s'agit d'un verbe pronominal : ici.
Dernière édition par Mansour le Mer 2 Jan - 17:59, édité 1 fois
Mansour- Admin
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